Saturation en oxygène
La norme est de 98 à 100 % toute la vie.
Cette constante vitale est le plus souvent mesurée en lien avec la fréquence cardiaque.
En cas de manque d’oxygène, et pour garder un taux constant, nous compensons en première instance par une accélération du pouls ou une augmentation du volume respiratoire.
Lors de l’effort musculaire, la distribution de l’oxygène se fait de façon privilégiée vers les muscles.
Lors de l’effort intellectuel, le cerveau étant notre plus grand consommateur d’oxygène (20 % de la quantité globale), il est moins disponible pour les muscles.
Lorsque le système immunitaire est fortement sollicité, il consomme jusqu’à 20 fois plus d’oxygène qu’en temps normal.
Une anomalie prolongée de la saturation en oxygène est le signe précurseur d’une déficience respiratoire et métabolique.
C’est la raison pour laquelle un contrôle via l’oxymètre de pouls est particulièrement intéressant durant la période que nous traversons.
L'oxymètre de pouls
C'est un outil pratique et largement utilisé pour mesurer la saturation en oxygène dans le sang (SpO2). En quelques secondes, il permet de savoir si l'oxygénation sanguine est suffisante, en fournissant une donnée essentielle, notamment dans les contextes médicaux ou sportifs. Mais saviez-vous que des valeurs normales de SpO2 ne garantissent pas une oxygénation optimale au niveau cellulaire ?
Oxygénation du sang vs oxygénation cellulaire : une différence cruciale
L'oxygénation du sang, mesurée par l'oxymètre de pouls, reflète la capacité des globules rouges à transporter l'oxygène depuis les poumons vers les tissus. Toutefois, cela ne signifie pas que l'oxygène est correctement utilisé par les cellules elles-mêmes.
En effet, pour que l'oxygène atteigne les mitochondries – les "centrales énergétiques" des cellules – et soutienne les fonctions cellulaires essentielles, plusieurs facteurs interviennent :
- La qualité de la circulation sanguine (microcirculation),
- L’efficacité du transport de l’oxygène aux cellules,
- La capacité des cellules à capter et utiliser cet oxygène.
Même avec une saturation en oxygène idéale, des déséquilibres (stress oxydatif, mauvaise qualité de l'air, manque d'activité physique) peuvent empêcher une oxygénation cellulaire optimale. Cela peut entraîner une fatigue chronique, un vieillissement prématuré ou une baisse des fonctions vitales.
Que se passe-t-il avec le Bol d’air Jacquier ?
Ainsi, si l'oxymètre de pouls est un outil précieux pour évaluer l'état général de votre saturation en oxygène, il est essentiel d'agir sur votre bien-être global pour soutenir une oxygénation optimale des cellules. Des approches comme le Bol d'air Jacquier permettent d'améliorer la biodisponibilité de l'oxygène, aidant les cellules à mieux l'assimiler et à se revitaliser durablement.
Si la saturation est à 98 et 99 %, on ne voit pas de changement notoire, voir une baisse passagère tout de suite après la séance.
Le sang délivre mieux son oxygène et donc s’appauvrit en premier lieu pour mieux servir les tissus.
Le système se stabilise ensuite et la saturation remonte, voir dépasse son seuil initial dans les 10 minutes suivantes.
Si la saturation est en dessous de 96 % ou encore plus bas, on voit rapidement une amélioration, pendant la séance et après.
Bien entendu il faut répéter les séances pour un résultat durable et une stabilisation à 98/99 %.