Les allergies peuvent déclencher une inflammation chronique qui entraîne un stress oxydatif et une hypoxie, contribuant ainsi à la sévérité des symptômes allergiques et à l'apparition de complications potentiellement dangereuses pour la santé. Optimiser son oxygénation cellulaire permet de réduire les symptômes de l'allergie de son cortège de conséquences sur l'organisme.
Les allergies, un réel phénomène de société
Modification de notre environnement (plus de pollens dans l’air, plus de pollutions, réchauffement climatique), de nos modes de vie (habitats surchauffés et confinés), de nos mesures d’hygiène qui déstabilisent notre système immunitaire… Les causes sont multiples et expliquent pourquoi de plus en plus de personnes souffrent d’allergies respiratoires.
Quelle est l’importance du problème ?
L’allergie est considérée par l’OMS comme une maladie à part entière, se plaçant en 4ème position après le cancer, les maladies cardio-vasculaires et le SIDA.
En France, plus de 30 % de la population souffre d’une maladie allergique, avec au premier rang les allergies respiratoires. Dans le futur, ce taux devrait même atteindre 50 %.
L’allergie, qu’est-ce que c’est ?
L’allergie est une réaction excessive et inadaptée du système immunitaire, consécutive à un contact avec une ou plusieurs substances étrangères à l’organisme.
Ces substances sont alors reconnues comme dangereuses par celui-ci et deviennent des allergènes spécifiques pour la personne qui en souffre. Elles provoquent des réactions inflammatoires qui entrainent un manque d’oxygène cellulaire, lequel vient à son tour aggraver le phénomène.
C’est le cercle vicieux de l’hypoxie : les cellules sont stressées par ce manque d’oxygène et l’ensemble des fonctions de l’organisme se trouve perturbé.
L'inflammation et l'oxygénation
L’inflammation et le manque d’oxygène sont corrélés dans la plupart des études scientifiques les concernant – l’un pouvant entrainer l’autre et inversement. Ce sont les deux faces d’une même pièce.
L'inflammation est une réponse naturelle du corps à diverses agressions, qu'elles soient externes comme les infections ou internes comme les dommages cellulaires. Cette réaction complexe implique un réseau de molécules et de cellules immunitaires qui interviennent pour restaurer l'homéostasie. Cependant, derrière cette réponse protectrice se cache parfois un double visage, un mécanisme qui peut se retourner contre nous : l'induction du stress oxydatif et de l'hypoxie.
Il est important de reconnaître que l'inflammation est une réponse complexe et souvent bénéfique du corps. Cependant, lorsque cette réponse devient chronique ou excessive, elle peut dépasser les mécanismes de contrôle et entraîner des conséquences néfastes telles que le stress oxydatif et l'hypoxie.
L'inflammation et le stress oxydatif : quand les radicaux libres font des dégâts
Lorsque notre corps est confronté à une inflammation, une cascade de réactions chimiques se déclenche, y compris la production de radicaux libres. Ces molécules instables sont riches en électrons et peuvent endommager les structures cellulaires saines lorsqu'elles sont produites en excès. Ce phénomène est connu sous le nom de stress oxydatif.
Les radicaux libres attaquent les lipides, les protéines et même l'ADN des cellules, entraînant une détérioration progressive et contribuant au processus inflammatoire. Paradoxalement, alors que l'inflammation est une réponse immunitaire nécessaire, elle peut aussi déclencher une spirale de dommages cellulaires via le stress oxydatif.
Hypoxie : quand l'inflammation asphyxie nos cellules
Lorsque les tissus sont enflammés, cela peut également perturber la disponibilité d'oxygène, entraînant une condition appelée hypoxie. L'inflammation peut altérer la fonction des vaisseaux sanguins, réduisant ainsi la capacité du sang à transporter l'oxygène vers les tissus. De plus, les cellules inflammatoires libèrent des molécules qui interfèrent avec la capacité des cellules à utiliser efficacement l'oxygène, même s'il est disponible en quantité suffisante.
L'hypoxie peut avoir des effets dévastateurs sur les cellules, compromettant leur fonctionnement et contribuant à une inflammation persistante. Dans certaines conditions, telles que l'ischémie, où l'approvisionnement en sang est gravement réduit, l'hypoxie peut même conduire à la mort cellulaire.
Un gaspillage énergétique
L’hypoxie fait barrage au bon fonctionnement métabolique de l’organisme, à l’assimilation des nutriments, à l’élimination des toxines et des toxiques et à la production d’énergie.
Les émonctoires (foie, reins, peau et poumons) doivent accroître leur travail de filtration.
Pour se défendre face aux agressions le corps doit mobiliser une grande quantité d’énergie, au moment même où celle-ci lui-fait défaut.
Un allié naturel pour soulager les allergies : le Bol d’air Jacquier
Le Bol d’air Jacquier apporte une solution à la sous-oxygénation cellulaire.
Cette méthode permet d’utiliser les propriétés oxygénantes d’un extrait de résine de pin en transformant ses parties volatiles en porteurs d’oxygène, pour créer un nébulisat.
D’une part l’hémoglobine se charge plus aisément de ce transporteur que de l’oxygène seul. D’autre part, l’oxygène ainsi transporté est plus facilement libéré dans les tissus en hypoxie et capté par les cellules. L’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné, sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène.