Les études scientifiques
Afin d’approfondir les connaissances sur les mécanismes de l’oxygénation cellulaire et d’étudier de nouvelles applications, Holiste anime une recherche pluridisciplinaire. Celle-ci intègre des explorations dans les domaines de la physique, de la chimie et de la biologie moléculaire, en partenariat avec des chercheurs, des universitaires et des professeurs en médecine. De nouvelles observations, thèses et publications, confirment régulièrement l’importance de cette méthode d’oxygénation naturelle, sans risque radicalaire.
Le Bol d’air n'est pas destiné à diagnostiquer, traiter, guérir ou prévenir une quelconque maladie.
C’est un complément visant à améliorer l’état général. Il peut être adopté comme une hygiène de vie et de protection par rapport aux impacts de la vie moderne. En aucun cas il ne saurait remplacer un traitement adapté à votre situation personnelle, conseillé et prescrit par un professionnel de santé.
Bol d'air Jacquier
Béatrice Mercier, PhD en Sciences de la vie et en Biochimie de l’Oxygénation Cellulaire, a réuni une bibliographie considérable sur l’oxygénation cellulaire, le rôle des essences terpéniques et les avantages de la forme tétravalente de l’oxygène générée par les inhalations de Bol d’air Jacquier.
Les observations scientifiques, réalisées à l’Université de Dijon, mettent en évidence l’augmentation de la capacité anti-radicalaire des organismes, in vivo et ex vivo. Il ne s’agit pas d’ingérer un anti-radicalaire spécifique mais de renforcer la capacité de réaction globale de l’organisme aux radicaux libres lors des inhalations Bol d’air.
Ainsi la méthode est à la fois oxygénante et non oxydante alors que l’augmentation d’oxygène, couramment utilisée dans d’autres méthodes, comporte le risque de générer un stress oxydatif de la cellule.
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A partir de 2003, les chercheurs italiens, nutritionnistes, endocrinologues, cliniciens, P. De Cristofaro, A. Pietrobelli et N.C. Battistini, ont communiqué sur le rôle de l’oxygénation dans le domaine de l’obésité : leurs travaux, présentés au Congrès international de San Diego USA (répertorié FASEB), Congrès sur l’obésité d’Helsinky et Congrès mondial de l’obésité de Prague, démontrent que l’utilisation du Bol d’air permet à la fois de diminuer la masse grasse corporelle et d’augmenter la masse maigre, de manière significative par rapport à un groupe témoin. Depuis, le Bol d’air est utilisé dans des centres spécialisés en Italie, en accompagnement et soutien naturel du traitement de l’obésité et des pathologies métaboliques.
Le Docteur Andrea Lino, spécialiste de médecine du sport, Professeur de physiologie humaine à l’Université La Sapienza de Rome, observe les effets remarquables du Bol d’air sur la force explosive, l’élasticité musculaire et l’endurance auprès de nageurs.
ESP consulting, laboratoire de recherche indépendant, évalue les effets des inhalations Bol d’air sur des sportifs en bonne santé. L’impact de l’entraînement est très important dans deux groupes sur des critères d’adaptation métabolique et respiratoire, avec une tendance améliorée pour les utilisateurs du Bol d’air, sur au moins trois critères :
- Après 10 semaines d’entraînement, la ventilation maximale à l’exercice augmente de 2,5% pour le groupe témoin et de 9,3% pour le groupe Bol d’air.
- Après ce même laps de temps, la VO2 max diminue de 2,8% pour le groupe témoin et augmente de 5,5% pour le groupe Bol d’air.
- Le score de fatigue diminue de 9,5% après entraînement pour les témoins et de 36,6% pour le groupe Bol d’air. Cette amélioration démontre que le Bol d’air est une aide très importante pour la récupération à l’effort.
C’est pourquoi les sportifs de tous niveaux et de tous horizons intègrent le Bol d’air dans leurs entraînements.
Une nouvelle avancée de la recherche sur le Bol d’air Jacquier a été développée grâce à une équipe scientifique marseillaise dirigée par le Professeur Eric Sérée.
Sous l’action de sessions respiratoires régulières (3 min d’Aéro2, 5 fois par semaine, pendant 5 mois), certains gènes présents dans le cerveau des mammifères ont été activés. Ces gènes permettent la création par l’organisme de produits spéciaux (les sirtuines, particulièrement les Sirt-1) d’un très grand intérêt pour le bien-être et la santé.
Ces molécules interviennent pour lutter contre les processus inflammatoires, l’apoptose (autodestruction cellulaire) le stress oxydatif et le vieillissement cellulaire ainsi que pour améliorer la résistance au stress et stimuler la création de nouvelles mitochondries, ces centrales énergétiques cellulaires indispensables à la fourniture d’énergie. Elles interviennent dans le métabolisme du cholestérol et pourrait être protectrice contre l’athérome la lutte contre le dépôt des plaques.
Il est possible d’appréhender l’état de santé mitochondrial via l’évaluation du taux d’iso-enzymes. L’étude, portant sur 10 personnes saines ou malades, a permis de constater que les sessions respiratoires du Bol d’air Jacquier améliorent ces marqueurs dans 8 cas sur 10.
Etude allemande réalisée dans le cabinet du Heilpraktiker Frank Stubenvoll.
Une récente étude observationnelle du Dr Horgue (mars 2019) permet de valider que faire des sessions Bol d’air diminue les sensations de fatigue chez des personnes atteintes du syndrome d’Ehlers Danlos hypermobile (SED ou HSD – Hypermobility Spectrum Disorder).
Le syndrome d’Ehlers-Danlos (SED), la plus répandue des maladies héréditaires du tissu conjonctif, nécessite un traitement d’oxygénothérapie médicale, à raison de 20 min deux fois par jour. Quelques personnes ont accepté de comparer cette oxygénation médicale à des sessions respiratoires de 3 min de Bol d’air Jacquier.
Pour environ 30 personnes, pratiquant une session de 3 min de Bol d’air lors de leur visite au cabinet médical, une amélioration de la fatigue, immédiate, plus efficace et rapide que l’oxygénation médicale, a été constatée (environ 2 points sur une échelle allant de 1 à 10), sur un temps variant entre 6 et 8 heures.
Pour environ 6 patients, pratiquant une à deux sessions de Bol d’air par jour pendant 10 jours, le même effet rapide d’amélioration de la fatigue a été constaté, avec de plus une diminution des migraines (environ 2 points sur une échelle analogique allant de 1 à 10). Dans deux cas, les sessions respiratoires ont été efficaces sur les difficultés respiratoires (essoufflement).
Même si l’échantillon des volontaires est trop faible pour aboutir à une généralisation, ces effets positifs du dispositif du Bol d’air sur la fatigue sont intéressants à prendre en compte.
Pour en savoir plus sur le syndrome SED : http://www.gersed.com/
OBJECTIF : Évaluation d’une INM - l’effet de séances de Bol d’air Jacquier (BAJ) sur la fatigue des personnes en situation d'obésité (IMC > 30) lors du programme ÉQUILIBRE (accompagnement des maladies chroniques liées à l’obésité en hospitalisation de jour sur 2 semaines) de la clinique Saint-Christophe (Bouc-Bel-Air)
MÉTHODOLOGIE : Étude monocentrique analytique observationnelle en cohorte, sur population en surcharge pondérale (IMC>30) - 2 groupes (par tirage aléatoire) : un sans BAJ, le second avec BAJ (3 séances de 3 minutes / jour) - Formulaire d’information et de consentement.
DÉROULEMENT : Sur les 2 semaines du programme ÉQUILIBRE, à raison d’un total de 8 jours (2x4 jours).
ÉVALUATION : 2 questionnaires d’évaluation en début et en fin du programme ÉQUILIBRE (J1 et J8) : de la fatigue (score Multidimensional Inventory Fatigue ou MIF) et du besoin de récupération BDR (Need for Recovery Scale). 1 mini-questionnaire d’évaluation de la fatigue (score Brief Fatigue Inventory ou BFI) à chaque fin de journée.
CONCLUSION : L’évaluation montre un bénéfice du programme ÉQUILIBRE sur la fatigue des patients obèses. Ce bénéfice est renforcé par les séances de Bol d’air Jacquier. Il est plus important et significatif chez les patients porteurs d’une fatigue importante et bénéficiant des séances de Bol d’air. Les séances de Bol d’air apportent une amélioration significative de la fatigue chez les patients obèses (IMC>30) du programme ÉQUILIBRE, ayant une asthénie importante.
- Impact du Bol d’air Jacquier sur les nausées et vomissements post-opératoires : ces résultats très significatifs ont incité d’autres équipes et d’autres établissements à se servir du Bol d’air.
ÉVALUATION BAJ ET NVPO DR ABOSSOLO - Clinique St-Philibert - 2016
Une parenthèse s’ouvre en milieu médicalisé, en soin de suite et rééducation pour les patients comme pour les accompagnants. Le Bol d’air est « un véritable outil de médiation » qui « se partage sans modération ».
- Enquête de satisfaction des patients sur l’utilisation du Bol d’air en SSPI à la Clinique de l’Olivier. « Personne ne connaissait la méthode et tous ont été impressionnés par l’expérience proposée » : Résultats de l'enquête de satisfaction - Utilisation du Bol d'air jacquier en SSPI - Clinique de l'Olivier - Juin 2019.pdf.
Une étude menée sur des patients non-autonomes, c'est-à-dire alités et/ou en soins palliatifs. Des effets positifs sont remarqués au niveau des nausées et des douleurs, mais aussi du point de vue relationnel entre le patient et son entourage.
Un environnement cellulaire bien oxygéné permet de lutter contre la glycation des protéines.
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Huile essentielle de térébenthine
Ce travail présente une bibliographie résumée des principaux impacts biologiques de l’huile essentielle (HE) de térébenthine, son origine et son utilisation dans les médecines traditionnelle et moderne. Plus précisément, une synthèse est faite des impacts médicaux, biologiques et environnementaux des composants majeurs de la partie la plus volatile de l’HE (α-et β-pinènes), ainsi que de son innocuité pour la santé humaine.
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L'oxygénation cellulaire
Mesure de l’impact du style de vie de sujets en bonne santé par l’évaluation de leur capacité antiradicalaire globale.
Par Lesgards JF, Durand P, Lassarre M, Stocker P, Lesgards G, Lanteaume A, Prost M, Lehucher-Michel MP.
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L’évolution des radicaux libres et du stress oxydatif.
Par McCord JM, Edeas MA.
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Pollution de l’air hivernal en relation avec les bronchiolites infantiles à Paris.
Par Ségala C, Poizeau D, Mesbah M, Willems S, Maidenberg M.
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